NOUVEAU
Roman
Le RETOUR de la meunière de Saint-Brisson
170 pages..
Prix : 19 € + Port colissimo (Livraison gratuite à Saint-Brisson, Saint-Martin et Saint-Firmin)
(En vente auprès de l'AP&S et à la Maison de la Presse de Gien)
NOUVEAU
Tome 3 (sortie septembre 2022) :
La découverte de nouveaux documents depuis la sortie des tomes 1 et 2 (voir ci-dessous) permet d’actualiser certains points des ouvrages précédents et d’ajouter des informations ou anecdotes sur l’histoire du village.
40 pages, 26 photos..
Prix : 14 € + Port colissimo (Livraison gratuite à Saint-Brisson, Saint-Martin et Saint-Firmin)
(En vente chez l'auteur : Christian Auger, 23 rue d'Autry - 45500 Saint-Brisson-sur-Loire et à la Maison de la Presse de Gien)
Tome 2 :
SAINT-BRISSON-SUR-LOIRE, la vie au village du XVIIIème au XXIème siècle. La commune, la paroisse, les écoles, les métiers, les commerces, les fêtes villageoises
Après avoir retracé dans le tome 1, voir ci-dessous) l’histoire de Saint-Brisson depuis sa création probable il y a peut-être mille six cents ans, voici un aperçu de la vie quotidienne des Saint-Brissonnais entre les XIXème et XXIème siècle, période contemporaine de nos arrière-grands-parents, grands-parents et parents.
Nous évoquons la vie communale et la vie paroissiale, confondues pendant très longtemps. Elles ont façonné le développement de Saint-Brisson avec parfois quelques escarmouches entre laïques et partisans de l’Église. Ces rivalités, pas toujours anodines, ont néanmoins animé le quotidien d’anecdotes souvent pittoresques
Tous les grands événements et faits divers ayant marqué le village sont également rappelés.
Par ailleurs la montée en puissance de l’enseignement public et du niveau d’instruction dès le début du XXème siècle, l’arrivée progressive de l’électricité vers 1927 et de l’eau potable aux robinets en 1967, ainsi que l’évolution des techniques agricoles, transforment rapidement la vie du village.
Nous avons tenté de recenser tous les métiers et commerces qui se multiplient dans les rues à une époque où les familles vivent principalement de la production de leur ferme ou de leur jardin. L’activité économique locale, très dynamique, apporte la plupart des services nécessaires à la population même si l’on va aussi faire quelques achats, ou ventes, sur les marchés des villes voisines.
Pendant cette période Saint-Brisson est aussi un village ou la vie est ponctuée par les cérémonies familiales et religieuses. Les mariages sont l’occasion de se réunir en famille et de retrouvailles. Les processions religieuses animent pendant longtemps les dimanches pour la quasi-totalité des habitants. La salle Sainte-Solange est un lieu de rencontres et de distractions qui attire même les villages voisins.
On trouve également à Saint-Brisson, à partir de la seconde moitié du XXème siècle, une pépinière d’associations dont nous rappelons les origines et les activités.
Les manifestations locales « traditionnelles » ainsi que les fêtes plus récentes sont également évoquées avec le secours des photographies beaucoup plus nombreuses, et en couleur, qui permettent de figer des événements
Enfin, tout au long de ce « reportage » nous avons essayé de retracer quelques épisodes de la vie du village à l’aide de témoignages de Saint-Brissonnais et des souvenirs de leurs familles.
320 pages, 570 photos.
Prix : 29 € + Port colissimo (Livraison gratuite à Saint-Brisson, Saint-Martin et Saint-Firmin)
(En vente chez l'auteur : Christian Auger, 23 rue d'Autry - 45500 Saint-Brisson-sur-Loire et à la Maison de la Presse de Gien)
TABLE DES MATIÉRES:
Saint-Brisson, un village berrichon
Rues et lieudits de Saint-Brisson
Les croix du village
Les routes et les moyens de transport
Santé, pluie, froid et chaleur rythment la vie d’une population essentiellement paysanne
Le quotidien des Saint-Brissonnais, leurs joies, leurs peines
Le confort domestique émerge peu à peu
La commune et l’administration du village
Les écoles et l’enseignement
L'histoire mouvementée du monument aux morts de Saint-Brisson
La vie paroissiale et religieuse dans le village
La salle Sainte-Solange, pôle d’animation pendant cinquante ans
L’agriculture : élevage, céréales et vignes
Les métiers et commerces du village
Le bateau-lavoir, lieu de convivialité
La Loire, des inondations, … mais c’est aussi la plage à Saint-Brisson
Les incendies de Saint-Brisson et les sapeurs-pompiers
La vie associative au service des Saint-Brissonnais
Les fêtes traditionnelles
Les grandes fêtes villageoises modernes
Annexe :
Un patois local d’origines diverses
Tome 1 :
SAINT-BRISSON-SUR-LOIRE, des comtes de Sancerre aux Séguier et de Ranst, la grande Histoire, leurs petites histoires et quelques "bêrlaiseries"
Véritable histoire du village de Saint-Brisson-sur-Loire racontée à travers celle de ces monuments emblématiques que sont, entre autres, le château, l'église, et le prieuré bénédictin.
On découvre également la sous-commanderie probablement templière, gérée depuis le XIVème siècle par l'Ordre des Hospitaliers de Jérusalem dont l'existence à Saint-Brisson n'avait jusqu'ici jamais été avérée.
Est associée à ces sites l'histoire des seigneurs, barons, et marquis, ayant marqué les lieux, des comtes de Sancerre à la grande famille des Séguier, en passant par les Courtenay pour finir par les de Ranst de Berchem. Les faits historiques voisinent avec les petites histoires de ces familles voire leurs petits secrets, complétés par des anecdotes parfois surprenantes.
La lecture de cet ouvrage est aussi l'opportunité de revisiter rapidement l'Histoire de France à travers celle du village, riche d'événements inattendus, oubliés ou méconnus par les uns, inconnus par les autres, notamment les plus jeunes.
320 pages , 280 photos, plans et schémas
Prix : 29 € + Port colissimo (Livraison gratuite à Saint-Brisson, Saint-Martin et Saint-Firmin)
(En vente chez l'auteur : Christian Auger, 23 rue d'Autry - 45500 Saint-Brisson-sur-Loire et à la Maison de la Presse de Gien)
TABLE DES MATIÈRES :
Origines très lointaines de Saint-Brisson.
Robert de Saint-Brisson, le premier seigneur ?
Les comtes de Sancerre prennent possession de la châtellenie de Saint-Brisson.
Jean IV de Courtenay fait baron de Saint-Brisson par Charles VII.
Guillaume ou JeanIII Jouvenel, baron et seigneur de Saint-Brisson.
Puis se succèdent les familles de Beaujeu, de Clèves et de Nevers...
Les Séguier vont « régner » sur Saint-Brisson pendant trois siècles.
- Une puissante famille construite avec méthode et efficacité.
- Pierre, Louis, Nicolas, Maximilien, barons et marquis se succèdent.
- Les « citoyens » Séguier traversent la Révolution tant bien que mal.
- La transmission aux de Ranst de Berchem.
Les autres Séguier associés ou presque à Saint-Brisson : Charles-François-Sidoine, érudit et disciple de J-J Rousseau; Alphonse Séguier, le militaire, colonel au 35ème Dragons de Napoléon; Pierre Séguier, chancelier de France;.
Les sites historiques de Saint-Brisson:
- Le château
- Le prieuré
- L’église Saint-Pierre & Saint-Brice
- La maison de Launay et le château du Coudray, fiefs des La Bussière.
- La maladrerie et l’Hôtel-Dieu
Des Templiers et une sous-commanderie templière à Saint-Brisson.
Les célébrités Saint-Brissonnaises : colonel René Chevreau, aviateur; Pierre Billereau, hussard de Napoléon; Nicolas Le Jouvre, poète; Dominique Corneille, curé de Saint-Brisson pendant 34 ans; Augustin Berton, historien et curé de Saint-Brisson entre 1888 et 1901; Maxime Chobert, curé, historien et auteur d'un roman policier.
Saint-Brisson subit les conséquences de tous les grands conflits.
Quand l’Affaire Dreyfus s’invite à Saint-Brisson.
Le cimetière de Saint-Brisson.
La Loire n’est pas un long fleuve tranquille...
L’Ocre et les moulins de Saint-Brisson.
Annexe I
Arbre généalogique des familles de Sancerre, de Courtenay, Jouvenel, de Beaujeu, et de Clèves-Nevers
Annexe II
Arbre généalogique des familles Séguier et de Ranst de Berchem de Saint-Brisson.
Annexe III
Le château, vingt-sept ans de rénovation par l’Association des Amis du Château de Saint-Brisson (ACSB).
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30/10/2016
« GIEN et le Giennois », Moments d'histoire et anecdotes, édité par la Société Historique et Archéologique du
.Giennois (SHAG).
Cet ouvrage est constitué de 262 pages reprenant les 200 articles des "Mardis de l'Histoire" publiés dans le journal La République du Centre entre février 2010 et juin 2014.
Ces articles ont été classés par thèmes ; patrimoine, histoire, religion, personnages, vie giennoise, métiers, événements et anecdotes.
Prix : 25 € (En vente à la Maison de la Presse de Gien)
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« La Meunière de Saint-Brisson », roman policier de Jean Martigny (Maxime Chobert, curé d'Ousson-sur-Loire au début du 20ème siècle).
L’intrigue de « La Meunière de Saint-Brisson » est située dans le village de Saint-Brisson-sur-Loire, à la fin du XVIIIème siècle. Elle constitue la trame d’un roman publié, sous forme de feuilleton, en 1911 et 1912, dans le supplément dominical du journal Le Travailleur de Gien.
Le nom de son auteur, Jean Martigny, qui ne fait pas très couleur locale… n’est qu’un pseudonyme. Sa véritable identité est Maxime Chobert, curé d’Ousson-sur-Loire au début du XXème siècle.
Outre l’intérêt de l’énigme proprement dite, cette histoire est prétexte à décrire la vie au village de Saint-Brisson au milieu du XIXème siècle, les personnages emblématiques, les mœurs de cette microsociété, et d’y retrouver de nombreux lieux-dits ou sites géographiques.
Ce roman, « légèrement » moralisateur – après tout, il est écrit par un curé ! -, est aussi le témoignage de l’importance que la religion prenait encore dans la vie quotidienne des villages aux XVIIIème et XIXème siècles.
Maxime Chobert, qui était originaire du hameau des Martins connaissait bien les arcanes saint-brissonnais, et, contemporain de son confrère et ami l’abbé Berton, curé de Saint-Brisson, il n’a pas été sans ignorer son ouvrage sur le Marquisat de Saint-Brisson*, publié en 1901, pour écrire cette histoire… bien qu’il attribue une particule aux Séguier, particule qu’ils n’avaient pas !
On y retrouve par ailleurs des patronymes connus à Saint-Brisson, dès le XVIIème siècle : Guerrier (Germain) fut bailli, Danjou (Jacques) était un « bourgeois », Bellier (Thomas) était bailli vers 1650 et avait une fille Marie, quant à Leulier (Antoine), il était bien « cabaretier » à Saint-Brisson au milieu du XVIIème siècle…
L'AP&S pu rassembler la cinquantaine d’épisodes de ce roman grâce à la patience et à la bonne volonté des collaborateurs de la Bibliothèque Nationale de Paris, où se trouvaient les textes originaux dont nous publions la version intégrale.
Seules quelques petites adaptations ont été nécessaires pour faciliter la lecture.
La couverture a été réalisée par un illustrateur de talent, auteur de bandes dessinées historiques, Vincent Dubourg....installé à Saint-Firmin, pas très loin du lieu ou se passe une partie de l'histoire de la meunière!
Par ailleurs, nous proposons pour les plus jeunes lecteurs un petit lexique des mots anciens ou de patois local que l’on trouve dans le texte, tout en laissant à l’auteur la paternité d’autres expressions du « parlé » saint-brissonnais ou régional de l’époque… et de quelques « originalités » orthographiques concernant la transcription du nom des lieudits.
Prix de vente : 18 € (En vente à l'AP&S, dans les commerces saint-brissonnais et à Gien, Maison de la Presse)
08/05/2016
« Guerre de 1914-1918, Eugène Naquin, cultivateur à Saint-Brisson-sur-Loire »
Eugène Naquin, dont les parents étaient cultivateurs à la ferme des Thenoux est mobilisé à 25 ans, le 4 août 1914, pour combattre sur le front dans l'Est et le Nord de la France. Il reviendra cinq ans plus tard, titulaire entre autres, de la médaille militaire, de la Croix de guerre, de la médaille de Verdun, après avoir vécu l'horreur et l'absurdité de certains combats, la vie insupportable dans les tranchées, la misère dans laquelle sont plongées les populations civiles qu'il rencontre, mais aussi la fraternité dans les moments difficiles.
L'auteur, tambour et brancardier, a consigné toutes ses observations sur les petites notes rédigées sur place pendant le conflit, puis rassemblées à la fin de la guerre dans des petits cahiers d'écolier qui font l'objet de ce document unique, édité par son neveu Gérard Boureux, à l'occasion du centenaire de la première guerre mondiale.
Un témoignage critique et amer sur ce qu'il a vécu au cœur de l'évènement, et notamment sur l'attitude d'une certaine hiérarchie militaire.
Eugène Naquin était un militant poursuivant un travail de mémoire en souvenir des disparus (Cinquante huit soldats Saint-Brissonnais sont morts entre 1914 et 1918) et défendant les intérêts des survivants. Il a créé, en 1920, la section des anciens combattants de Saint-Brisson, qu'il présidera jusqu'à sa mort en 1970. Personnage d'un naturel joyeux et joueur, il faisait aussi figure d'original. Il s'opposa à sa manière à la décision de de Gaulle, en 1958, de supprimer la retraite des anciens combattants (" A ceux qui sont pourvus du nécessaire et qui ne sont pas invalides"), en boycottant les cérémonies officielles du 11 novembre 1959,....et en tirant au fusil de chasse sur son poste de radio, lors de l'annonce de cette nouvelle par le général de Gaulle, racontent encore les villageois qui l'ont connu !
Prix de vente : 17 € (En librairie et dans les commerces saint-brissonnais)
02/05/2016
« Carnet de voyage… », du côté de Briare
Petite plaquette recueillant des aquarelles et illustrations sur différents sites emblématiques de Briare.
Réalisé par Fabienne Perrot pour les textes et l'illustrateur Plumovan, pour les dessins, ce "Carnet de voyage" est en vente notamment au Musée des deux marines, et à l'Office du Tourisme de Briare.
Pour tout renseignement : Editions Loire en scène
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15/11/2015
« Grand-Père raconte-nous ton village… »
Comment une petite commune du Giennois, Poilly-lez-Gien, a-t-elle vécu les moments heureux et surtout les crises dramatiques liées aux mauvaises récoltes, aux crues brutales, aux rudes hivers et aux guerres, au cours des siècles précédents ?
En s’appuyant sur de nombreux documents : textes anciens, actes notariés, chartes, journaux, l’auteur, Jean Rivier, ancien Maire de Poilly-lez-Gien, mais surtout historien, membre de la SHAG (Société Historique et Archéologique du Giennois) a dressé depuis la période paléolithique, le passé de la commune, jusqu’à la Première Guerre mondiale.
Avec le XIXème siècle, le progrès s’installe au village. Poilly, dans sa marche vers la modernité présente les mêmes caractères que ceux de la plupart des communes voisines. On retrouve avec quelques nuances l’installation de l’école au village et ses conséquences pour l’écrit, l’arrivée des nouveaux transports, une agriculture qui tire parti des découvertes techniques et scientifiques…
Vous découvrirez cette longue histoire, racontée au fil des jours, par des grands-parents à leurs petits-enfants.
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14/07/2015
« Pierre Billereau, un Saint-Brissonnais hussard de Napoléon entre 1805 et 1815 »
Histoire d’un jeune villageois de Saint-Brisson-sur-Loire,Pierre Billereau (1785 – 1867), parti à 20 ans dans un régiment de hussards pour les campagnes napoléoniennes à travers l’Allemagne, la Prusse et l’Espagne.
Une histoire assez incroyable pour cet homme qui après un itinéraire exceptionnel en Europe pendant une dizaine d’années, des combats impitoyables, quelques blessures, a pu rentrer à Saint-Brisson-sur -Loire, s’y marier, avoir des enfants, et mourir paisiblement à 82 ans !....
Cette épopée, reconstituée à partir de documents d’archives, est relatée en suivant les parcours des 10ème et 2ème Hussards, les régiments de Pierre Billereau, entre 1805 et 1815.
Ce récit documentaire est aussi prétexte à « réviser » l’histoire de cette période et prendre la mesure des dures conditions de vie endurées par les soldats de l’Empire.
Prix de vente : 15 € (S’adresser à l’AP&S)
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14/07/2015
« La vie communale dans le marquisat de Saint-Brisson »,
L’abbé Berton, ancien curé de Saint-Brisson à la fin du 19ème siècle, s’est livré à décrire la vie des Saint-Brissonnais sous l’ancien régime. Il rapporte à partir de ses recherches documentaires le fonctionnement de la société de l’époque, les relations entre les habitants et l’Eglise qui assurait une autorité morale incontournable, d’une part, et le seigneur local, le marquis de Saint-Brisson, d’autre part.
Ce document donne une idée de la façon dont la « modeste communauté de manans et habitants » de Saint-Brisson qui ne pouvait songer, au moyen-âge, à revendiquer de leur seigneur une citoyenneté à part entière, a évolué très rapidement vers une certaine autonomie de gestion qui étonne parfois les esprits formés à l’école de la République d’aujourd’hui…
En fait ce récit, qui fourmille d’anecdotes locales, montre comment les ordonnances royales du XVIème au XVIIIème siècles ont, peu à peu, étendu aux plus petites paroisses de campagne, le bénéfice réel de la vie communale et comment, même s’il existait des différences évidentes entre eux, les relations entre les habitants, leur curé et leur marquis s’assumaient dans la sérénité !
Une seconde partie de ce livre est consacrée à quelques anecdotes locales de la période révolutionnaire, puis napoléonienne, jusqu’à la fin du XIXème siècle.
Ce livre est la réimpression de l’édition originale de l’abbé Berton de 1901, réalisée à l'initiative et par les soins de l'AP&S.
Prix de vente : 15 € (S’adresser à l’AP&S)
SHAG (Société Historique et Archéologique du Giennois)